Merci de m'adresser toute information à l'adresse suivante : etiguil@free.fr



Remerciements

La mémoire et l'histoire d'Addi Bâ seraient tombées dans l'oubli sans les recherches et les précieux témoignages de nombreuses personnes. Ce site n'existerait pas sans elles. Qu'elles soient ici remerciées.

Le colonel Maurice Rives
Né en 1924, il s'est engagé en 1944 dans l'infanterie coloniale pour la durée de la guerre. Au cours de sa carrière militaire, il a reçu à diverses reprises des affectations dans des unités de tirailleurs malgaches et sénégalais. Deux fois blessé en Extrême-Orient, il est titulaire de la médaille militaire et officier de la Légion d'Honneur. Il a mené de très importantes recherches sur l'engagement des combattants africains et malgaches dans la Seconde Guerre mondiale et notamment dans la Résistance intérieure. Il est également de ceux qui ont lutté au plan politique pour la « décristallisation » des pensions des anciens tirailleurs. Maurice Rives est le premier a s'être intéressé à Addi Bâ et à avoir reconstitué les grandes étapes de son parcours à la fin des années 1980. C'est sur la base de son travail que j'ai commencé ma propre enquête en 2003.

Hubert Mathieu
Né en 1921, à Sandaucourt (Vosges), il a compté parmi les réfractaires accueillis au maquis de la Délivrance. Après la guerre, il a repris sa vie d'agriculteur à Sandaucourt. Hubert Mathieu s'est battu avec l'administration française pour la reconnaissance officielle d'Addi Bâ. C'est grâce à sa détermination qu'Addi Bâ a pu recevoir la médaille de la Résistance en juillet 2003. C'est aussi grâce à son opiniâtreté qu'ont pu être retrouvés les neveux d'Addi Bâ en Guinée, Ibrahima et Hady Bah. Hubert Mathieu est décédé en août 2009.

Jean Mallière
Grâce à ce présent site, la magie d'Internet m'a permis de rencontrer Jean Mallière, fils de l'institutrice de Saint-Ouen-les-Parey qui a accueilli Addi Bâ en 1940 et avec laquelle il entretenait des relations quasi-filiales. Jean qui a eu la gentillesse de me recevoir, avec sa compagne, Josiane, m'a généreusement ouvert ses archives. C'est tout un pan inconnu de l'histoire d'Addi Bâ qu'il m'a permis de découvrir à travers son témoignage, les souvenirs de sa mère et une série de photographies totalement inédites d'Addi Bâ, qu'il m'a autorisé à présenter sur ce site.

Que soient également remerciées toutes les personnes (dont certaines ont aujourd'hui disparu) qui ont bien voulu me recevoir et m'apporter leur précieux témoignage : Berthe Laurent, Monique, Clotilde et Marie-Thérèse Aubert, Jean Calba, Paul Barret, Paul Henrion, Paulette Chanaux, Marcel Bichet, Jean Barbier, Michel Theisen, Michel Arburger, Jean Demay...

J'adresse aussi tous mes remerciements à différents enseignants qui se sont, très tôt, intéressés à mon travail et en ont saisi les enjeux pédagogiques: Éric Mansuy, enseignant à Épinal, qui m'a apporté une aide et un soutien particulièrement précieux pendant mon enquête ; Sébastien Raguet, lui aussi enseignant à Épinal, qui se mobilise régulièrement ; Etienne Augris, aujourd'hui enseignant à Nancy.

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